Moi, j'arrive et ma fille aussi!

Julia été septique c'est temp si. Sachant trés bien qu'elle devait partir. Son acouchement dans une ruelle c'était bien passait mais son devoir de tueuse en série l'avait vite ratrapé. Un homme c'était aprochée d'elle, voulant l'agressée. Elle avait un 9mm tipiquement chinoix avec elle, faut dire que sa l'avait aidé. Le sang de l'homme n'avait pas atérie sur sa fille mais sur elle. Le sang, elle aimait voir giclée le sang de ses ennemis, plus qu'une vengeance imaginé pour elle!

Riku trainer son nounours derriére elle, il était rapiciée et une oreille été un peu grignotée. Sa chevelure blond et courte été joyeuse. Elle été vêtue d'une simple robe blanche qui lui donnait son air de petite fille, c'est vrai qu'elle était jeune mais elle était pleine de vie et aimait beaucoup sa maman qui était a ses côtés et qui la pris pour la posée sur c'est genoux, ansi donc la bercant atendant son taxy qui l'emmenerais dans un endroit dont elle ignorée le nom et ou elle ignorée aussi le pourquoi du comment qu'elle allait la bas. Autant dire que les explication avait était breve a se sujet.

Une voiture arriva alors, bagage en main et sa fille sur son dos, Julia avanca vers cette voiture qui été noir, au vitre teinté et a l'intérieure, une belle femme du même age que Julia. Vêtue d'un simple jogging et sweat. Aprés quelque heure de voiture, il débouchérent dans une petite ruelle en Q de sac qui cachait un internat des plus morose. Elle avait dans son sac toutes son artirie et ne penssait pas que c'était a cause de cela qu'elle était amennée ici. La jeune femme qui conduisait la bouscula, la mettant dehors et partie, précipitée.

Riku avança la premiére, titubant sur c'est petite jambes. Courant derriére elle, Julia arriva a la ratrper et levant la tête, elle remarqua qu'elle était au secrétariat. Elle resta sans bouger, atendant que quelqu'un degne l'aprocher pour l'aceuillir, la voila donc Amata, sa derniére chance!

Mademoiselle Tôda c’était levée dans son magnifique et grandiose manoire, comme tous les jours, avec une humeur des plus étranges . En effet, elle était présente se matin-même pour débarquer dans l’école proche de la ville, à peine plus loin, histoire de voir si des nouveaux employés allaient débarquer ou non . Quoiqu’il en soit, elle s’était apprêtée d’une grande manière, prenant dès très tôt un bain aux senteurs de roses dont son corps c’était imprégné grâce aux pétales y flottants . Elle se sentait vraiment bien, mais le temps passait et elle n’avait vraiment aucun autre choix que de se redresser et de mettre son grand peignoir blanc et d’envelopper ses cheveux noirs dans un linge chaud .

La chose faite, elle descendit prendre un repas simple et copieux, par une de ses servantes (ça venait d’ailleurs à manquer) . Elle se régala alors que d’autres mourraient de faim et luttaient pour survivre . Mais c’était chèrement mérité, car Fye avait passé de nombreuses épreuves pour arriver où elle en était dès à présent . Chemin faisant, elle alla s’habiller, se maquiller, se coiffer, etc. tout se dont une femme peur rêver de faire . Elle s’habilla alors d’un jeans en cuire noir, très moulant, ainsi que d’un t-shirt qui moulait lui aussi parfaitement sa poitrine simple . Elle se détacha alors ses cheveux lisses et noirs corbeaux, puis prit juste son sac à main et descendit en bas .

Là, des gardes du corps l’attendaient et la grande grille du garage où stationnaient maintes voitures s’ouvrit . Puis, elle dit à son chauffeur, aimablement :

- La 73, s’il vous plait .

Le chauffeur alors se dirigea vers la voiture, l’alluma et vint près de la demoiselle qui y entra sans broncher, bien que le système de sécurité avait tout vérifié envers la voiture . Oui, c’était ça le quotidien de la jeune femme qui vivait la nuit . Les journées semblaient magnifiques… et c’était comme dans un rêve d’adolescente . Quoiqu’il en soit, on la déposa devant l’école . La limousine alors fit son apparition devant la grille et attendait Mademoiselle Tôda, qui en sortit et se dirigea dans l’enceinte de l’établissement . Là, elle remarqua une femme pauvrement vêtue, comme cette petite qui semblait avoir faim et soif . Fye leur sourit alors doucement, avant de reposer son regard sur les lieux, d’une manière simple et calme, avec ses yeux étranges . Elle attendait la directrice pour savoir si oui ou non, des offres d’emploies furent demandés par les élèves…

Julia avait a présent Riku dans c'est bras, regardant autour d'elle, deux simple valise a côtés d'elle, un représentant toute ses armes, la plus grosse et l'autre ayant tout se qu'une jeune maman peut avoir besoin ainsi que des vêtement a elle et Riku qui en avait plus qu'elle. Mais sa fille passait avant elle, c'était la seule chose a laquelle elle pouvait se raprocher dans cet internat ou elle ne savait même pas pourquoi elle était la.

Julia et Riku, aussi, vit une jeune femme, un grande dame arrivait. Un asiatique au yeux étonnament bleu les regardaient. Cette femme au air de marquise, qui n'avait pas besoin d'envier qui que se soit. Elle était vpêtue de noir, des vêtement trés moulant qui dévoilait des formes sans faye, son visage fin au trais plus que doux cacher surement de dure secret car aucun expression n'était dévoiée. La jeune femme, une belle femme qui ne fallait pas sous étsimée, vut son entrée avec classe par une limousine et tout se qui s'en suit. Julia décida donc de s'aprocha prudement d'elle, ne voulant la faire fuir.

Bonjour... Je suis Julia, et voici ma fille, Riku...

Se présentant, elle regarda Riku arrivait qu'elle avait posée entre temp en titubant, comme a son habitude. Elle la repris alors et joua quelque seconde avec sa bouche se qui faisait trop portrait de la femme heureuse avec sa fille mais se qui manquait été un pére, un véritable pére, hélas elle n'en avait pas. Elle souoriat a sa fille Avant de regardait, souriante la belle inconnue dréssé de tout sa slendeur devant elle.

Alors qu’elle admirait presque l’endroit, bien qu’encore moins luxueux que dans sa propre demeure bien en vue au dessus de la ville sur une grande colline verdoyante, elle se perdit dans sa rêverie incertaine et bien dissimulée derrière ses yeux bleuté et sans vie . D’ailleurs, la demeure était tellement grande qu’on la confondait bien certainement à un ancien château rénové vu les lumières qu’on apercevait distinctement lors des douces soirées d’été à travers les fenêtres énormes qui lui donnaient un aspect tout de même contemporain . C’était d’ailleurs une belle architecture .

Cependant, ses pensées continuaient de divaguer au delà des abîmes et des paradis inexistants à ses yeux, étant d’une autre croyance que celle de la plus part des européens . Mais comme toutes les rêveries, on en sort chaque fois par une phénomène de l’extérieur, ne serait-ce qu’un retour primitif au commencement de notre univers, celle où le langage n’existait pas et les gestes étaient la seule chose de compréhensive . Seulement, ce n’était pas un geste rapide qui la sortit de sa transe, mais la voix d’une femme, cette femme juste à ses cotés .

Alors, ses rêveries se finissent, dans l’attente simple de la directrice, et ses yeux se posèrent sur la personne ayant haussée la voix peut de temps auparavant . Fye se souvenait alors très bien d’où elle se trouvait et le pourquoi du comment elle se trouvait jute aux cotés de la belle demoiselle, quelque peu pauvrement vêtue . Cette dernière alors se présenta à notre jeune milliardaire qui lui rendit un sourire simple mais très doux .

- Enchantée . Je suis Fye Taï Shina Tôda .

Sa voix fut toujours aussi cristalline et pure . Elle inclina alors ensuite poliment sa tête . Mais qui donc ne pouvait connaître cette femme aux grandes allures avec ses cheveux de jais et d’une intensité remarquable, comme ses yeux d’une étrange couleur vu qu’elle semblait parfaitement asiatique . A vrai dire, elle était Chinoise . Quoiqu’il en soit, elle arbora toujours se sourire de coin .