Une new's gérante? Oo

Oui, c’était bien vraie, pour une fois les rumeurs étaient belles et bien fondées . L’ancienne gérante n’avait pas su tenir déjà comme il faut la discothèque devenue ringarde et avait fini par décéder en laissant cet endroit délabré . Cependant, depuis quelques mois déjà, des grands travaux furent pris en compte devant les yeux de tout le monde, sans trop savoir pourquoi . La raison était simple et efficace, Mademoiselle Tôda, nouvelle gérante de se lieu déshérité, était tout bonnement arrivée remettre de l’ordre dans cette situation catastrophique et le tout donnait merveilleux car il y en avait pour toutes les sauces et tous le goûts, sans compter le fait qu’un boîte à streap-tease collée après fut enfin bâtie par les mains de ses ouvriers payés par une ravissante asiatique . Cette dernière allait bientôt ouvrire le lieu pour l’innover, mais s’assurait des derniers détails de l’endroit . Dans son grand bureau secrètement bien gardé et sous grande protection, Fye se tenait droite et inspectait le moindre souci . Les employés n’étaient que très peu présents, mais il fallait dire que ça ne lui posait pas de problème . Oui, Mademoiselle Tôda était réputée dans toute la ville pour sa grande richesse . Mais elle était surtout connue de tous les dealeurs, de nom en tout cas, car elle n’était rien d’autre qu’une baronne de la drogue et une habile manipulatrice . Une simple robe noir à talon aiguille, des bijoux d’une grande valeur, ses cheveux lâchés qui descendaient le long de son corps fin et bien développé, voilà en gros la belle Dame qui descendait les marches, faisant claquer doucement ses talons sur le sol encore rigide et non-couvert par la future musique . Alors qu’elle alluma la pièce principale, son gadget de dans sa poche lui indiqua la présence d’une tierce personne . Pas si méchante que ça en apparence, elle s’avança prudemment en direction du centre de la pièce, armée sans qu’on le remarque, et déclara de sa voix douce et cristalline :

- Y’a quelqu’un ?

La pénombre n’était alors plus dans la pièce, car les yeux de notre charmante femme asiatique ne restaient jamais totalement inhabitués à l’obscurité total dans lequel n’importe quel lieu de se bas monde pouvait se plonger . La nuit n’était d’ailleurs plus un secret pour elle, comme beaucoup de choses cela dit en passant . La lumière se fit alors d’un simple claquement de doigt, sans pour autant en faire le geste, comme si juste par pensée la lumière venait alors troubler nos yeux et les envoyer dans un aveuglement des plus total pendant quelque seconde . Le regarda alors de Fye, prénom ni féminin ni masculin, se posa sur l’ombre et la silhouette quelque peu rondelette posée auprès de l’entrée . Nul doute, cette personne n’allait pas faire bien de mal à la jeune Mademoiselle Tôda, bien que plus âgée de sûr quasiment . La voix de l’inconnue s’éleva alors et Fye put en reconnaître tous les sons en une seule seconde à peine car cette voix en était plus que familière . Elle se souvenait très bien de cette jeune délurée qui s’était amusée à la provoquer, ce qui d’ailleurs lui avait beaucoup plu . Un sourire des plus sadiques se dessina sur ses lèvres rouges comme le sang fraîchement goûté . Elle s’avança alors vers elle et remarqua que ses formes ne s’étaient pas vraiment arrangées, ce qui était normal quand on traînait dans la rue et qu’on fumait comme un trou, mais ça Fye s’en fichait un peu .

- Tiens, Riku… Je ne pensais pas revoir ta tête par ici .

Dit-elle sur un ton presque ironique . Oui, la bagarre fut assez violente jadis, et Riku fut une de ses femmes tombées sous les coups sans pitiés de Fye qui y prenait un drôle de plaisir parfois . Tout ça parce qu’une de leur groupe, à Riku, n’avait pas payé notre chère Fye et ça l’avait mis très en colère à l’époque, manquant parfois de calme . Elle continua cependant de sourire avec toujours cette énigme au fond de ses yeux, à faire froid dans le dos sans le désirer . Sa voix s’éleva, calme et toujours aussi doucêatrement amer :

- Que viens-tu faire ici ?

J'avais eu peu de mal a adapté mon regard au noir, être Nicktalope(sa existe et je le suis) été une seconde natures chez moi, et je cacher bien d'autres chose...bien plus pire mais sa, c'est une autre histoire. Ma voix m'avait trahie, sachant qu'elle savait voir dans le noir, je ne me cachait point mais je ne penssait, ou plutôt ne savait plus que sa mémoires été sans faille. Remarquant que les coquert ou coup voir même coups de cutter qu'elle lui avait infligés avait disparues, Juline, une jeune rebelle de son groupe, ne l'avait pas payer, sa fureur c'étairtr alors dévesrsé sur elle et je l'avait défendue tant bien que mal, pourtant je m'était associé avec elle pas longtemp avant. Peu de temp aprés j'avait alors décidé que Juline n'avait plus rien a faire avec elle, je l'avait tuer, se qui été un emploi parciel, je n'aimait aps trop me salir les main par se sal boulot, d'autres eprsonne était la pour le faire tout de même!

Moi non plus, Juline es morte.

Se sujet allait réveiller des douleurs mais elle ne voulait pas qu'elle me croivent son énnemies, j'en avait peur, c'était la seule que je craigner dans le monde du Dile ou j'était la reine, aprés elle bien sur.

Je suis en détention a Amata, trop Violente et j'Dile trop aparemment, enfin bref! Maison de redressement, me voila!

Je la regardait, j'avais une moue boudeuse, pas vraiment contente d'être la bas mais autant pas voir les deux autres débiles mais Julie, malgrés se qu'elle m'avait fait, me manquer térriblement.

Certes, la lumière qu’avait projetée quelques secondes auparavant Mademoiselle Tôda avait fortement due affaiblire les yeux de la jeune femme incapable de voir d’abord dans le noir et qui ensuite se retrouvait complètement à la lueur d’une lumière puissante et colorée des lieux, de quoi anéantire un ennemi probable envers la baronne de la drogue . Toujours en fixant la jeune Riku, qui lui rappelait tant de souvenirs, le regard bleu pâle, et presque trop clair pour une asiatique, de notre jeune femme se posa alors encore et toujours dans les siens, les enfonçant jusqu’au plus profond de ces derniers comme pour y découvrire des mystères que trop bien cachés . C’était une des chose qui faisait le plus peur à ses ennemis, selon les dires et les rumeurs posés à son sujet . Elle se souvenait alors très bien de Juline, une jeune rebelle qui se croyait tout permis et à qui ça lui avait coûté que trop cher vu que plus tard on apprenait sa mort dans les journaux . D’ailleurs, Riku en fit le nom dans ses paroles et Fye ne lui offrit qu’un sourire des plus étranges, presque à faire aussi peur que son regard étrange .

- Oui, je l’ai appris dans les journaux . Je suppose que c’est ton œuvre, vu la façon dont ta voix te trahie encore et toujours .

La voix de Fye semblait froide et douce à la fois, comme un chant démoniaque et angélique complètement mélangé . Cette femme avait quelque chose de plus que les autres, quelque chose que personne n’arrivait à définir même en la connaissait par cœur . Les douleurs se réveillèrent alors dans les yeux de Riku, mais pas dans ceux de Fye qui ne montrait rarement son amitié et ses sentiments . Cependant, si Riku était sur ses gardes, il n’y avait pas de quoi l’être car notre impératrice de la drogue, si Riku s’en croyait être la reine, l’aurait déjà éliminée depuis bien longtemps . Ca, c’était une face sombre et dissimulée derrière se sourire que trop doux, comme se visage d’ange et ses formes parfaites. Son sourire repris alors de plus belle, à la deuxième phrase terminée de Riku, et elle répondit calmement :

- Eh bien, ça ne m’étonne guère. Tu es toujours dans toutes les grosses gonfles de drogue et de violence. Mais bon, je l’étais moins aussi . Heureusement pour moi, je fais moins le « sal boulot », bien que de temps à autre ça me reprend . Bref…